Catégories
Blog mtl Blogue Engagement Communautaire Sécurité Routière Transport Urbanisme

Le Péril de Placer des Pistes Cyclables Entre les Voitures Stationnées et les Trottoirs

Le Péril des Pistes Cyclables : Les Chemins Séparés Sont-ils Dangereux pour les Cyclistes et les Piétons ?

La Quête d’une Cyclisme Sécuritaire

Récemment, la mise en place de pistes cyclables séparées, souvent nichées entre les voitures stationnées et les trottoirs, a connu une augmentation dans diverses villes du monde entier. Il en va de même pour Montréal, qui a commencé à mettre en place de telles pistes cyclables à travers la ville. L’un des endroits les plus récents à avoir vu l’implémentation de telles pistes se trouve dans le quartier de Park-Extension, plus précisément sur l’avenue Querbes.

Les partisans affirment que ces voies favorisent la sécurité des cyclistes et encouragent un mode de vie plus actif. La mairesse de l’arrondissement insiste sur le fait que ces nouvelles voies amélioreront la sécurité. Laurence Lavigne Lalonde a soutenu que les études de la ville montraient que ces changements étaient nécessaires et qu’elle ne voudrait pas attendre qu’un enfant soit blessé avant d’agir. Bien que les résidents aient demandé l’accès à ces études, il s’est avéré qu’aucune étude de ce type n’avait été réalisée. Cependant, une étude menée par le programme de planification communautaire et régionale de Denver, Colorado, soulève d’importantes préoccupations quant à la sécurité de ces pistes cyclables séparées.

Ce que les Études Ont Révélé

L’étude menée sur la relation entre les pistes cyclables séparées et les accidents de vélo à Denver, Colorado, a livré des résultats frappants. La recherche a utilisé une méthode d’analyse de régression de taux, combinant les données d’accidents avec les infrastructures cyclables actuelles de la ville. Les conclusions étaient statistiquement significatives et ont révélé une tendance alarmante : les pistes cyclables séparées étaient associées à plus d’accidents de vélo que les routes partagées. Ces résultats sont reflétés dans une étude de l’IIHS qui a révélé que les voies cyclables protégées au niveau de la rue comme celle de l’avenue Querbes présentent un risque élevé de blessures pour les cyclistes.

La Séparation ne Signifie pas la Sécurité

Contrairement à l’opinion courante, les données de l’étude ont remis en question l’idée que la séparation des cyclistes de la circulation automobile rendait le vélo plus sûr. En fait, elle a suggéré que cette séparation pourrait augmenter le risque d’accidents pour les cyclistes. Parmi tous les types de pistes cyclables examinées, la piste cyclable séparée semblait être la plus risquée, avec le plus grand nombre d’accidents de vélo. Ces données ont été corroborées par des professionnels chevronnés du transport.

L’Urgence d’une Réévaluation

Ces conclusions remettent en question la sagesse de la mise en place de pistes cyclables séparées en tant que solution universelle à la sécurité des cyclistes. Bien que ces voies puissent donner aux cyclistes un sentiment de sécurité, les données réelles sur les accidents suggèrent le contraire. Il est crucial que les urbanistes et les décideurs reconsidèrent leur approche de la conception des voies cyclables et accordent la priorité à la sécurité des cyclistes. Laurence Lavigne Lalonde, la mairesse de l’arrondissement, devrait reconsidérer sa position sur cette question.

Orientations pour des Recherches Futures

L’étude a également souligné la nécessité de recherches supplémentaires. Les futures études devraient viser à créer et à comparer des taux d’accidents plus précis, en intégrant les données sur le nombre de vélos et de véhicules. De plus, l’évaluation des taux d’accidents avant et après l’installation de pistes cyclables séparées dans des rues spécifiques est essentielle pour comprendre pleinement leur impact sur la sécurité. L’absence de données précises avant et après la mise en œuvre de ces changements est inacceptable.

Les Responsables de la Ville Doivent Prendre du Recul

La mise en place de pistes cyclables séparées, dans le but d’améliorer la sécurité des cyclistes, a suscité de graves inquiétudes à la lumière des conclusions de l’étude menée à Denver, Colorado. Bien que l’idée de séparer physiquement les cyclistes de la circulation automobile puisse sembler séduisante, il est essentiel de fonder de telles décisions sur des données empiriques et une analyse approfondie. Les résultats de l’étude suggèrent que les pistes cyclables séparées pourraient ne pas être la panacée en matière de sécurité des cyclistes, incitant les urbanistes et les législateurs à réévaluer leurs stratégies et à accorder la priorité à la protection des cyclistes sur la route.

Actions Négligentes de la Mairesse

On ne peut ignorer la négligence flagrante dont fait preuve la mairesse en imposant ces changements malgré les appels sincères des citoyens. Les citoyens, animés par un désir authentique de garantir la sécurité de leurs enfants, de leurs aînés, des cyclistes, des membres handicapés de la communauté, ainsi que de préserver les places de stationnement pour les résidents de l’arrondissement, ont exprimé à maintes reprises leurs préoccupations.

Il est navrant de constater le mépris de la mairesse pour la sécurité et le bien-être de ses concitoyens, d’autant plus que les preuves empiriques remettent en question l’efficacité des pistes cyclables séparées. Ignorer les appels de la communauté, qui est la plus touchée par ces changements, soulève d’importantes questions quant à l’engagement du maire envers leur bien-être et à l’exécution responsable de ses fonctions. Il est essentiel que les responsables publics écoutent les préoccupations de leurs concitoyens et donnent la priorité à leur sécurité avant tout lors de la mise en œuvre de changements dans l’infrastructure urbaine.

Source: https://www.forbes.com/sites/dianafurchtgott-roth/2022/09/08/bike-lanes-dont-make-cycling-safe/amp/

Catégories
Blog mtl Blogue Communauté Locale Engagement Communautaire

Les Panneaux d’Interdiction de Stationner Disparaissent à Parc-Extension : Un Examen Approfondi des Préoccupations de la Communauté

Les Mystères des Panneaux d’Interdiction de Stationner à Parc-Extension : Regards sur les Préoccupations Communautaires

Introduction:

Le quartier Parc-Extension de Montréal reste au centre d’un débat passionné concernant des changements proposés impliquant la suppression de places de stationnement et l’expansion des pistes cyclables. Ce différend en cours a récemment atteint un sommet lors d’une réunion du conseil d’arrondissement de Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension, nécessitant l’intervention de la police. Le cœur du problème tourne autour du plan ambitieux de réaménagement de deux pistes cyclables sur les avenues Querbes et Ball, ce qui entraînerait la suppression de 250 places de stationnement. Dans cet article, nous explorerons les derniers développements qui ont laissé la communauté perplexe.

Disparition des Panneaux d’Interdiction de Stationner :

Dans la saga continue du quartier Parc-Extension de Montréal et de sa lutte autour des pistes cyclables et des places de stationnement proposées, un récent événement a laissé les résidents perplexes et frustrés. L’apparition soudaine et la disparition des panneaux d’interdiction de stationner le long de certaines rues ont soulevé de nombreuses questions. Ce développement a amplifié les préoccupations existantes concernant la transparence, l’équité et le traitement des communautés marginalisées qui ont des opinions différentes de celles de leurs élus.

Les résidents de Parc-Extension ont été pris au dépourvu lorsqu’ils ont constaté que l’étirement des rues à partir de Querbes à Liège jusqu’à Jean-Talon et Querbes était dépourvu des panneaux d’interdiction de stationner un mardi soir. Cette occurrence inattendue a laissé beaucoup de gens perplexes, surtout compte tenu du débat intense entourant les modifications apportées aux pistes cyclables et à l’infrastructure de stationnement du quartier. Initialement, la communauté croyait que la mairesse avait changé d’avis et qu’ellr écouterait enfin leurs préoccupations, cherchant une solution alternative qui conviendrait mieux à toutes les parties impliquées.

Cependant, le mercredi, les panneaux d’interdiction de stationner sont réapparus, pour être retirés à nouveau mercredi soir. Les résidents ont garé leurs voitures en grande partie durant le soir et se sont couchés, pour se réveiller en découvrant que leurs voitures étaient verbalisées ou remorquées.

Stationnemment interdit - Park-Extension

Émergence de Preuves :

À mesure que la nouvelle de la disparition des panneaux d’interdiction de stationner se répandait, des résidents inquiets ont fourni des preuves qui dessinaient un tableau troublant. Il est devenu évident que des travailleurs municipaux, accompagnés d’une escorte policière, étaient revenus tôt le matin pour réinstaller les panneaux d’interdiction de stationner. Cela a soulevé une question cruciale : comment peut-on pénaliser les gens qui se sont garés de bonne foi lorsque les panneaux indiquant les restrictions de stationnement étaient temporairement absents ?

Préoccupations de la Communauté :

La controverse entourant la suppression et la réinstallation subséquente des panneaux d’interdiction de stationner a suscité l’indignation parmi les résidents de Parc-Extension. De nombreuses personnes au sein des communautés marginalisées du quartier estiment que leurs voix et leurs préoccupations sont ignorées par des élus déterminés à imposer leur agenda, quelles que soient les objections.

A 3:00am la ville remet les panneaux

La suppression des panneaux, même si elle est temporaire, soulève des questions concernant la transparence et l’équité du processus décisionnel. Elle remet également en question le traitement des résidents qui ont des opinions différentes de leurs représentants élus et se demandent s’ils sont traités de manière injuste ou discriminatoire.

Transparence et Engagement Civique :

Les événements entourant la disparition des panneaux d’interdiction de stationner soulignent l’importance de la transparence et de l’engagement civique dans le processus décisionnel local. Les résidents plaident de plus en plus en faveur d’un processus plus inclusif qui prend en compte les besoins et les préoccupations diversifiés de la communauté.

Alors que le débat sur les pistes cyclables et les places de stationnement se poursuit, il est essentiel de veiller à ce que toutes les voix soient entendues, respectées et traitées équitablement. La suppression et la réinstallation subséquente des restrictions de stationnement sans communication adéquate ou avertissement suscitent des préoccupations quant au traitement des communautés marginalisées dans le processus décisionnel.

Les responsables de la ville cherchent-ils à punir les résidents pour avoir défendu leurs droits, ou les résidents en ont-ils assez des actions autoritaires des élus et recourent-ils à des actes de dissidence en retirant les panneaux ? Quoi qu’il en soit, la responsabilité incombe au bureau de la mairesse pour avoir maltraité cette communauté marginalisée au sein de l’arrondissement. Au minimum, toutes les amendes doivent être annulées, et les citoyens doivent être indemnisés pour tout inconvénient qu’ils ont subi.

Une solution qui respecte les droits de la communauté:

Le mystère de la disparition des panneaux d’interdiction de stationner à Parc-Extension rappelle la nécessité d’une gouvernance ouverte, transparente et équitable. Alors que les résidents sont aux prises avec l’évolution de la situation, il est essentiel que les élus abordent ces préoccupations et travaillent à une solution qui respecte les droits et les perspectives de tous les membres de la communauté.

L’histoire des panneaux manquants est loin d’être terminée, et elle souligne les défis permanents liés à l’équilibre des intérêts et des opinions d’une communauté diversifiée. Dans l’esprit de la démocratie, il est essentiel de veiller à ce que personne ne se sente marginalisé ou discriminé pour avoir exprimé ses opinions et que toutes les voix soient également prises en compte pour façonner l’avenir de Parc-Extension.

Un Appel à la Mairesse Lalonde pour Réfléchir à Ses Actions :

De nombreux résidents de Parc-Extension appellent désormais la mairesse Laurence Lavigne Lalonde à faire une pause, à prendre un moment pour se regarder dans le miroir et à réfléchir à ses actions tout au long de cette question litigieuse. Il est essentiel que les élus représentent et travaillent au bénéfice de tous les électeurs, et non seulement d’une poignée sélectionnée.

Si la mairesse Lalonde avait pris les mesures nécessaires pour trouver une solution qui aurait pu accueillir un plus grand nombre de ses électeurs, en particulier ceux issus de groupes minoritaires visibles, une grande partie des conflits et des divisions qui ont affecté la communauté auraient pu être évités. Au lieu de cela, son insistance à faire passer les changements sans une considération adéquate des préoccupations et des besoins d’une partie importante de la communauté est perçue par beaucoup comme répréhensible.

La mairesse Lalonde a maintenant l’opportunité de réévaluer sa position et de prendre des mesures pour favoriser l’unité, l’inclusivité et une représentation équitable pour tous les résidents de Parc-Extension. L’espoir est qu’elle choisira une voie qui respecte la diversité des voix au sein de la communauté et qui cherche une résolution équitable au débat en cours.

Catégories
Blog mtl Blogue Engagement Communautaire Transport Urbanisme

La Bataille des Pistes Cyclables : Un Regard Approfondi sur les Protests Confluentes de Parc-Extension

Conflits en Cours dans le Quartier Parc-Extension à Montréal Révèlent des Divisions Profondes

La bataille des pistes cyclables à Parc-Extension : Un Conflit de Perspectives et de Préoccupations Négligées

Des protests concurrentes mettent en lumière de profondes divisions dans le quartier Parc-Extension de Montréal

Introduction :

Le quartier Parc-Extension de Montréal est devenu le champ de bataille d’un débat passionné opposant ceux qui sont favorables à la suppression de places de stationnement et à l’augmentation du nombre de pistes cyclables à ceux qui craignent de perdre des places de stationnement et de sécuriser les pistes cyclables existantes. Ce conflit persistant a atteint son paroxysme lors d’une récente réunion du conseil d’arrondissement de Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension, où les tensions étaient si vives que l’intervention de la police a été nécessaire. Au cœur de cette querelle ? Le plan ambitieux de l’arrondissement visant à réaménager deux pistes cyclables sur les avenues Querbes et Ball, ce qui entraînerait la suppression de 250 places de stationnement. Dans cet article, nous plongerons dans les perspectives des deux côtés de l’argument, mettant en lumière cette question complexe.

Les Préoccupations des Opposants :

Nalin Patel, un résident de longue date de Parc-Extension, exprime les préoccupations de ceux qui s’opposent au plan de pistes cyclables. Avec un ménage de six adultes comptant sur deux voitures, Patel insiste sur le fait que la suppression de 250 places de stationnement serait un “désastre” pour les résidents qui rencontrent déjà des difficultés pour se garer. Le sentiment parmi les opposants est que le quartier est surpeuplé et que les places de stationnement sont déjà rares.

De nombreuses personnes qui luttent pour que les places de stationnement ne soient que minimalement affectées insistent sur le fait qu’il devrait y avoir davantage d’accent mis sur la protection des pistes cyclables existantes et éventuellement sur l’ajout de dos d’âne supplémentaires sur Querbes pour réduire davantage la vitesse des voitures circulant sur la route. Ils semblent frustrés que leurs voix soient ignorées et que les élus mettent en œuvre leurs plans sans débat et consultation appropriée.

La Perspective des Partisans de la Suppression des Places de Stationnement :

De l’autre côté de ce débat, on trouve les personnes qui plaident en faveur de la réduction du nombre de places de stationnement et pour la création de voies cyclables dédiées supplémentaires pour la protection des cyclistes. Xavier Kronstrom Richard, résident de l’avenue Bloomfield, pratique le cyclisme dans la région depuis des années et soutient l’initiative de l’arrondissement visant à créer une infrastructure cyclable plus sûre. Il souligne que la communauté réclame des pistes cyclables protégées depuis plus d’une décennie, mettant en évidence le caractère dangereux du quartier actuellement centré sur les voitures pour les piétons et les cyclistes. Kronstrom Richard souligne les risques supplémentaires pour les familles avec enfants, évoquant les préoccupations concernant les demi-tours dangereux.

Xavier Kronstrom Richard estime que le plan de l’arrondissement protégera non seulement ceux qui n’ont pas de voitures, mais contribuera également positivement à la lutte contre le changement climatique. Didier Delfolie Noulin, résident depuis 15 ans de Parc-Extension, partage ce sentiment, soulignant la nécessité d’alternatives à l’usage de la voiture.

La Perspective de la Maire et les Données Manquantes :

Laurence Lavigne Lalonde, la mairesse de l’arrondissement Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension, soutient le plan, faisant valoir que 50 % de la population de Park-Extension n’utilise pas de voiture, et que les pistes cyclables ne représentent que deux pour cent des voies de l’arrondissement. Elle soutient que la création d’options de transport plus équitables est essentielle pour les nombreuses familles et les piétons du quartier. Tout en reconnaissant que certains résidents devront s’adapter, Lavigne Lalonde estime que le bien commun devrait prévaloir.

Les Préoccupations de la Communauté Aveugle :

Parmi les résidents qui expriment des préoccupations, on trouve Petros Nikolantonakis, un résident aveugle de Parc-Extension et un fervent défenseur des personnes malvoyantes à Montréal. Il souligne que l’accessibilité pour les aveugles et les malvoyants dans le quartier est déjà un défi, et que les changements proposés soulèvent des préoccupations supplémentaires.

Nikolantonakis met en évidence le fait que la suppression des places de stationnement pourrait affecter l’accessibilité de ceux qui dépendent de services de transport adaptés aux besoins des aveugles, tels que la variété de services offerts aux personnes ayant des limitations. Pour de nombreuses personnes de la communauté aveugle et d’autres ayant des limitations physiques, marcher sur de plus longues distances pour atteindre des services essentiels ou des hubs de transport n’est pas une option viable, et les changements proposés n’ont pas suffisamment abordé ces préoccupations.

Une Communauté Divisée :

Un aspect notable de ce débat est la composition des groupes opposés. Le groupe en faveur des changements sur les pistes cyclables, composé d’environ vingt personnes, semble être principalement d’ascendance anglo-saxonne ou canadienne-française. En revanche, le groupe qui soutient les pistes cyclables existantes est au moins cinq fois plus important et se compose principalement de membres de groupes de minorités visibles qui reflètent la diversité réelle des résidents de Parc-Extension.

Cette division démographique soulève d’importantes questions sur la représentation et la prise de décision. Certains résidents se demandent si les élus partent du principe qu’il est peut-être plus facile de négliger les préoccupations des groupes marginalisés. La taille et la diversité du groupe en faveur des pistes cyclables existantes suggèrent que cette question ne relève pas seulement de la préférence, mais aussi de l’équité sociale et de l’inclusivité.

Découvrir les Préoccupations Ignorées :

Compte tenu des événements qui se sont déroulés lors de cette protestation et du manque apparent d’attention portée aux préoccupations en matière de sécurité soulevées par certains résidents, nous avons décidé de creuser davantage ce débat. Il est essentiel d’examiner si les élus et les médias traditionnels ont peut-être négligé d’autres questions pressantes à Parc-Extension. Y a-t-il d’autres préoccupations qui couvent sous la surface, attendant d’être abordées ? Nous explorerons ces questions pour fournir une compréhension plus complète des défis auxquels ce quartier dynamique est confronté.

À une époque de développement urbain, il est impératif que les élus et les urbanistes donnent la priorité à une consultation publique efficace et abordent ces questions pressantes avant de mettre en œuvre des changements dans les rues. Négliger de le faire conduit non seulement à des citoyens mécontents, mais met également en danger les objectifs mêmes que ces changements visent à atteindre.

Conclusion :

Le conflit entre ceux qui sont en faveur des pistes cyclables protégées et les résidents inquiets de la perte de places de stationnement à Parc-Extension est emblématique du débat plus large sur l’urbanisme et les transports. Alors que le quartier navigue cette question controversée, il reste à voir comment un équilibre peut être trouvé entre les besoins des cyclistes, les préoccupations des résidents dépendants de la voiture, les enjeux de sécurité et d’accessibilité pressants, ainsi que les besoins des résidents malvoyants et des prestataires de services qui leur sont destinés.

L’espoir réside dans le fait que la transparence, l’inclusivité et la prise en compte attentive de toutes les perspectives deviendront des éléments clés du processus décisionnel, garantissant que les voix de tous les résidents, y compris les plus vulnérables, seront entendues et prises en compte. Le retrait des panneaux d’interdiction de stationnement mardi soir nous donne l’espoir que le bureau de la mairesse ait réexaminé sa tentative de faire passer les plans de la ville tels quels.

Sign In

Registre

réinitialiser le mot de passe

Veuillez saisir votre nom d'utilisateur ou votre adresse e-mail, vous recevrez un lien pour créer un nouveau mot de passe par e-mail.