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Le Péril de Placer des Pistes Cyclables Entre les Voitures Stationnées et les Trottoirs

Le Péril des Pistes Cyclables : Les Chemins Séparés Sont-ils Dangereux pour les Cyclistes et les Piétons ?

La Quête d’une Cyclisme Sécuritaire

Récemment, la mise en place de pistes cyclables séparées, souvent nichées entre les voitures stationnées et les trottoirs, a connu une augmentation dans diverses villes du monde entier. Il en va de même pour Montréal, qui a commencé à mettre en place de telles pistes cyclables à travers la ville. L’un des endroits les plus récents à avoir vu l’implémentation de telles pistes se trouve dans le quartier de Park-Extension, plus précisément sur l’avenue Querbes.

Les partisans affirment que ces voies favorisent la sécurité des cyclistes et encouragent un mode de vie plus actif. La mairesse de l’arrondissement insiste sur le fait que ces nouvelles voies amélioreront la sécurité. Laurence Lavigne Lalonde a soutenu que les études de la ville montraient que ces changements étaient nécessaires et qu’elle ne voudrait pas attendre qu’un enfant soit blessé avant d’agir. Bien que les résidents aient demandé l’accès à ces études, il s’est avéré qu’aucune étude de ce type n’avait été réalisée. Cependant, une étude menée par le programme de planification communautaire et régionale de Denver, Colorado, soulève d’importantes préoccupations quant à la sécurité de ces pistes cyclables séparées.

Ce que les Études Ont Révélé

L’étude menée sur la relation entre les pistes cyclables séparées et les accidents de vélo à Denver, Colorado, a livré des résultats frappants. La recherche a utilisé une méthode d’analyse de régression de taux, combinant les données d’accidents avec les infrastructures cyclables actuelles de la ville. Les conclusions étaient statistiquement significatives et ont révélé une tendance alarmante : les pistes cyclables séparées étaient associées à plus d’accidents de vélo que les routes partagées. Ces résultats sont reflétés dans une étude de l’IIHS qui a révélé que les voies cyclables protégées au niveau de la rue comme celle de l’avenue Querbes présentent un risque élevé de blessures pour les cyclistes.

La Séparation ne Signifie pas la Sécurité

Contrairement à l’opinion courante, les données de l’étude ont remis en question l’idée que la séparation des cyclistes de la circulation automobile rendait le vélo plus sûr. En fait, elle a suggéré que cette séparation pourrait augmenter le risque d’accidents pour les cyclistes. Parmi tous les types de pistes cyclables examinées, la piste cyclable séparée semblait être la plus risquée, avec le plus grand nombre d’accidents de vélo. Ces données ont été corroborées par des professionnels chevronnés du transport.

L’Urgence d’une Réévaluation

Ces conclusions remettent en question la sagesse de la mise en place de pistes cyclables séparées en tant que solution universelle à la sécurité des cyclistes. Bien que ces voies puissent donner aux cyclistes un sentiment de sécurité, les données réelles sur les accidents suggèrent le contraire. Il est crucial que les urbanistes et les décideurs reconsidèrent leur approche de la conception des voies cyclables et accordent la priorité à la sécurité des cyclistes. Laurence Lavigne Lalonde, la mairesse de l’arrondissement, devrait reconsidérer sa position sur cette question.

Orientations pour des Recherches Futures

L’étude a également souligné la nécessité de recherches supplémentaires. Les futures études devraient viser à créer et à comparer des taux d’accidents plus précis, en intégrant les données sur le nombre de vélos et de véhicules. De plus, l’évaluation des taux d’accidents avant et après l’installation de pistes cyclables séparées dans des rues spécifiques est essentielle pour comprendre pleinement leur impact sur la sécurité. L’absence de données précises avant et après la mise en œuvre de ces changements est inacceptable.

Les Responsables de la Ville Doivent Prendre du Recul

La mise en place de pistes cyclables séparées, dans le but d’améliorer la sécurité des cyclistes, a suscité de graves inquiétudes à la lumière des conclusions de l’étude menée à Denver, Colorado. Bien que l’idée de séparer physiquement les cyclistes de la circulation automobile puisse sembler séduisante, il est essentiel de fonder de telles décisions sur des données empiriques et une analyse approfondie. Les résultats de l’étude suggèrent que les pistes cyclables séparées pourraient ne pas être la panacée en matière de sécurité des cyclistes, incitant les urbanistes et les législateurs à réévaluer leurs stratégies et à accorder la priorité à la protection des cyclistes sur la route.

Actions Négligentes de la Mairesse

On ne peut ignorer la négligence flagrante dont fait preuve la mairesse en imposant ces changements malgré les appels sincères des citoyens. Les citoyens, animés par un désir authentique de garantir la sécurité de leurs enfants, de leurs aînés, des cyclistes, des membres handicapés de la communauté, ainsi que de préserver les places de stationnement pour les résidents de l’arrondissement, ont exprimé à maintes reprises leurs préoccupations.

Il est navrant de constater le mépris de la mairesse pour la sécurité et le bien-être de ses concitoyens, d’autant plus que les preuves empiriques remettent en question l’efficacité des pistes cyclables séparées. Ignorer les appels de la communauté, qui est la plus touchée par ces changements, soulève d’importantes questions quant à l’engagement du maire envers leur bien-être et à l’exécution responsable de ses fonctions. Il est essentiel que les responsables publics écoutent les préoccupations de leurs concitoyens et donnent la priorité à leur sécurité avant tout lors de la mise en œuvre de changements dans l’infrastructure urbaine.

Source: https://www.forbes.com/sites/dianafurchtgott-roth/2022/09/08/bike-lanes-dont-make-cycling-safe/amp/

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La Bataille des Pistes Cyclables : Un Regard Approfondi sur les Protests Confluentes de Parc-Extension

Conflits en Cours dans le Quartier Parc-Extension à Montréal Révèlent des Divisions Profondes

La bataille des pistes cyclables à Parc-Extension : Un Conflit de Perspectives et de Préoccupations Négligées

Des protests concurrentes mettent en lumière de profondes divisions dans le quartier Parc-Extension de Montréal

Introduction :

Le quartier Parc-Extension de Montréal est devenu le champ de bataille d’un débat passionné opposant ceux qui sont favorables à la suppression de places de stationnement et à l’augmentation du nombre de pistes cyclables à ceux qui craignent de perdre des places de stationnement et de sécuriser les pistes cyclables existantes. Ce conflit persistant a atteint son paroxysme lors d’une récente réunion du conseil d’arrondissement de Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension, où les tensions étaient si vives que l’intervention de la police a été nécessaire. Au cœur de cette querelle ? Le plan ambitieux de l’arrondissement visant à réaménager deux pistes cyclables sur les avenues Querbes et Ball, ce qui entraînerait la suppression de 250 places de stationnement. Dans cet article, nous plongerons dans les perspectives des deux côtés de l’argument, mettant en lumière cette question complexe.

Les Préoccupations des Opposants :

Nalin Patel, un résident de longue date de Parc-Extension, exprime les préoccupations de ceux qui s’opposent au plan de pistes cyclables. Avec un ménage de six adultes comptant sur deux voitures, Patel insiste sur le fait que la suppression de 250 places de stationnement serait un “désastre” pour les résidents qui rencontrent déjà des difficultés pour se garer. Le sentiment parmi les opposants est que le quartier est surpeuplé et que les places de stationnement sont déjà rares.

De nombreuses personnes qui luttent pour que les places de stationnement ne soient que minimalement affectées insistent sur le fait qu’il devrait y avoir davantage d’accent mis sur la protection des pistes cyclables existantes et éventuellement sur l’ajout de dos d’âne supplémentaires sur Querbes pour réduire davantage la vitesse des voitures circulant sur la route. Ils semblent frustrés que leurs voix soient ignorées et que les élus mettent en œuvre leurs plans sans débat et consultation appropriée.

La Perspective des Partisans de la Suppression des Places de Stationnement :

De l’autre côté de ce débat, on trouve les personnes qui plaident en faveur de la réduction du nombre de places de stationnement et pour la création de voies cyclables dédiées supplémentaires pour la protection des cyclistes. Xavier Kronstrom Richard, résident de l’avenue Bloomfield, pratique le cyclisme dans la région depuis des années et soutient l’initiative de l’arrondissement visant à créer une infrastructure cyclable plus sûre. Il souligne que la communauté réclame des pistes cyclables protégées depuis plus d’une décennie, mettant en évidence le caractère dangereux du quartier actuellement centré sur les voitures pour les piétons et les cyclistes. Kronstrom Richard souligne les risques supplémentaires pour les familles avec enfants, évoquant les préoccupations concernant les demi-tours dangereux.

Xavier Kronstrom Richard estime que le plan de l’arrondissement protégera non seulement ceux qui n’ont pas de voitures, mais contribuera également positivement à la lutte contre le changement climatique. Didier Delfolie Noulin, résident depuis 15 ans de Parc-Extension, partage ce sentiment, soulignant la nécessité d’alternatives à l’usage de la voiture.

La Perspective de la Maire et les Données Manquantes :

Laurence Lavigne Lalonde, la mairesse de l’arrondissement Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension, soutient le plan, faisant valoir que 50 % de la population de Park-Extension n’utilise pas de voiture, et que les pistes cyclables ne représentent que deux pour cent des voies de l’arrondissement. Elle soutient que la création d’options de transport plus équitables est essentielle pour les nombreuses familles et les piétons du quartier. Tout en reconnaissant que certains résidents devront s’adapter, Lavigne Lalonde estime que le bien commun devrait prévaloir.

Les Préoccupations de la Communauté Aveugle :

Parmi les résidents qui expriment des préoccupations, on trouve Petros Nikolantonakis, un résident aveugle de Parc-Extension et un fervent défenseur des personnes malvoyantes à Montréal. Il souligne que l’accessibilité pour les aveugles et les malvoyants dans le quartier est déjà un défi, et que les changements proposés soulèvent des préoccupations supplémentaires.

Nikolantonakis met en évidence le fait que la suppression des places de stationnement pourrait affecter l’accessibilité de ceux qui dépendent de services de transport adaptés aux besoins des aveugles, tels que la variété de services offerts aux personnes ayant des limitations. Pour de nombreuses personnes de la communauté aveugle et d’autres ayant des limitations physiques, marcher sur de plus longues distances pour atteindre des services essentiels ou des hubs de transport n’est pas une option viable, et les changements proposés n’ont pas suffisamment abordé ces préoccupations.

Une Communauté Divisée :

Un aspect notable de ce débat est la composition des groupes opposés. Le groupe en faveur des changements sur les pistes cyclables, composé d’environ vingt personnes, semble être principalement d’ascendance anglo-saxonne ou canadienne-française. En revanche, le groupe qui soutient les pistes cyclables existantes est au moins cinq fois plus important et se compose principalement de membres de groupes de minorités visibles qui reflètent la diversité réelle des résidents de Parc-Extension.

Cette division démographique soulève d’importantes questions sur la représentation et la prise de décision. Certains résidents se demandent si les élus partent du principe qu’il est peut-être plus facile de négliger les préoccupations des groupes marginalisés. La taille et la diversité du groupe en faveur des pistes cyclables existantes suggèrent que cette question ne relève pas seulement de la préférence, mais aussi de l’équité sociale et de l’inclusivité.

Découvrir les Préoccupations Ignorées :

Compte tenu des événements qui se sont déroulés lors de cette protestation et du manque apparent d’attention portée aux préoccupations en matière de sécurité soulevées par certains résidents, nous avons décidé de creuser davantage ce débat. Il est essentiel d’examiner si les élus et les médias traditionnels ont peut-être négligé d’autres questions pressantes à Parc-Extension. Y a-t-il d’autres préoccupations qui couvent sous la surface, attendant d’être abordées ? Nous explorerons ces questions pour fournir une compréhension plus complète des défis auxquels ce quartier dynamique est confronté.

À une époque de développement urbain, il est impératif que les élus et les urbanistes donnent la priorité à une consultation publique efficace et abordent ces questions pressantes avant de mettre en œuvre des changements dans les rues. Négliger de le faire conduit non seulement à des citoyens mécontents, mais met également en danger les objectifs mêmes que ces changements visent à atteindre.

Conclusion :

Le conflit entre ceux qui sont en faveur des pistes cyclables protégées et les résidents inquiets de la perte de places de stationnement à Parc-Extension est emblématique du débat plus large sur l’urbanisme et les transports. Alors que le quartier navigue cette question controversée, il reste à voir comment un équilibre peut être trouvé entre les besoins des cyclistes, les préoccupations des résidents dépendants de la voiture, les enjeux de sécurité et d’accessibilité pressants, ainsi que les besoins des résidents malvoyants et des prestataires de services qui leur sont destinés.

L’espoir réside dans le fait que la transparence, l’inclusivité et la prise en compte attentive de toutes les perspectives deviendront des éléments clés du processus décisionnel, garantissant que les voix de tous les résidents, y compris les plus vulnérables, seront entendues et prises en compte. Le retrait des panneaux d’interdiction de stationnement mardi soir nous donne l’espoir que le bureau de la mairesse ait réexaminé sa tentative de faire passer les plans de la ville tels quels.

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La Bataille des Places de Stationnement contre les Pistes Cyclables : Les Résidents de Park Ex Demandent à Être Entendus

Naviguer dans la Controverse : Les Résidents de Park Ex Luttent pour Avoir leur Mot à Dire dans le Changement Urbain

Lors d’une récente réunion du conseil de l’arrondissement à Parc-Extension, un quartier de Montréal, les tensions ont atteint leur paroxysme alors que les résidents se sont rassemblés pour exprimer leurs inquiétudes concernant la suppression de 250 places de stationnement afin de faire place à des pistes cyclables réaménagées sur l’avenue Querbes. Ce débat houleux couve depuis une séance d’information en juin et reflète des problèmes plus profonds de représentation et de changement communautaire dans ce quartier densément peuplé.

Un Point de Conflit dans une Communauté Diversifiée

Parc-Extension, souvent appelé Park Ex, est une communauté diversifiée en rapide évolution. La décision de supprimer des places de stationnement et de privilégier les pistes cyclables est devenue un point de conflit dans ce quartier où les résidents se sentent souvent ignorés par les autorités. Lors de la réunion houleuse, les participants ont exprimé leurs frustrations, et certains ont même dû être escortés à l’extérieur.

Zubeda Khan, une résidente de longue date et mère de quatre enfants, était parmi ceux qui ont exprimé des inquiétudes sur la manière dont ce changement affecterait les deux véhicules de sa famille. Elle estimait que son mode de vie, qui comprend de nombreux rendez-vous et courses pour sa famille de six personnes, était négligé. Ce sentiment était partagé par de nombreux résidents qui dépendent de leurs voitures pour leur vie quotidienne.

Un Quartier Divisé

Alors que certains résidents estiment que l’accent mis sur les pistes cyclables néglige les besoins des familles et des personnes âgées, d’autres estiment que c’est un pas dans la bonne direction pour une communauté plus verte et plus sûre. La mairesse d’arrondissement Laurence Lavigne Lalonde a défendu la décision, affirmant que la moitié de la population de Park Ex n’utilise pas de voitures et que les pistes cyclables ne représentent que deux pour cent des voies de circulation. Cependant, les défenseurs de l’environnement font valoir que le stationnement occupe près de 30 pour cent de l’espace du quartier. Les pistes cyclables réaménagées devraient améliorer la sécurité des cyclistes en créant des barrières physiques entre les vélos et les voitures, mais le revers de la médaille est la perte de places de stationnement dont dépendent les résidents.

De nombreux résidents de Parc-Extension sont profondément mécontents de ce qu’ils perçoivent comme des étrangers, y compris des élus, imposant leurs idées à la communauté sans solliciter leur avis par un vote. Dans ce quartier où les résidents partagent souvent un fort sentiment d’appartenance et un désir d’autodétermination, le sentiment de ne pas être entendu dans des décisions qui affectent directement leur vie quotidienne a intensifié les frustrations. Ils soutiennent que des décisions d’une telle ampleur, comme la suppression de places de stationnement et l’introduction de pistes cyclables, devraient impliquer une consultation et un engagement communautaire significatifs. Ce sentiment met en lumière le problème plus large de la représentation et du désir des résidents de participer à l’avenir de leur bien-aimé Park Ex.

L’Impact Humain

Le débat ne concerne pas seulement des statistiques ; il s’agit de l’impact réel sur des résidents comme Matilda Ramacieri, une femme handicapée dont la place de stationnement réservée sera déplacée en raison des changements liés à la piste cyclable. Son fils, Marco Paredes-Ramacieri, s’inquiète pour sa sécurité pendant les mois d’hiver. Ces préoccupations mettent en lumière les conséquences très réelles auxquelles certains résidents seront confrontés en raison de ces changements.

De plus, un premier intervenant anonyme a signalé que le temps nécessaire pour atteindre une personne dans le besoin et la transporter à l’hôpital augmentait au fil des ans en raison de ces changements. Tragiquement, l’intervenant a mentionné avoir perdu des patients en raison des retards causés par la navigation dans la nouvelle infrastructure.

Préoccupations Supplémentaires : Accessibilité et Sécurité

Certains résidents de la région, dont un homme aveugle nommé Petros Nikolantonakis et un chauffeur de taxi expérimenté avec plus de 2 millions de kilomètres à son actif, ont exprimé des préoccupations pressantes concernant la sécurité et l’accessibilité des rues réaménagées.

Petros, un résident aveugle du quartier qui milite pour les Montréalais vivant avec un handicap visuel, a mis en lumière le danger auquel sont confrontées les personnes malvoyantes lorsqu’elles sortent des véhicules et doivent naviguer à travers les pistes cyclables pour atteindre le trottoir. Petros a également déclaré que les résidents de Parc-Extension avaient été invités à une réunion d’information informelle et que la décision avait simplement été imposée aux résidents de l’arrondissement sans consultation publique.

Les préoccupations en matière de sécurité de Petros ont été relayées par le chauffeur de taxi expérimenté, qui a souligné les défis rencontrés pour aider les passagers âgés qui ont du mal à parcourir même une courte distance à travers une piste cyclable avant d’atteindre le trottoir. Le chauffeur de taxi a insisté sur le fait que prendre ces passagers dans un endroit plus sûr était souvent peu pratique en raison de la disposition des rues et de la longue marche jusqu’à leur destination.

Exploration des Possibilités pour les Résidents de Park Ex

Tirer des Leçons de la Rue Terrebonne dans le Borough de NDG

Les résidents de Park Ex, confrontés au débat houleux sur les places de stationnement par rapport aux pistes cyclables, pourraient trouver des leçons précieuses dans les expériences d’autres arrondissements de Montréal, en particulier Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce (NDG). À NDG, une piste cyclable controversée sur la rue Terrebonne a suscité de vives critiques, ce qui a conduit à sa suppression après de nombreuses plaintes, dont une pétition de 2 000 signatures. Cela témoigne du pouvoir de l’engagement communautaire et de la réactivité des élus aux préoccupations des citoyens.

Dans le cas de la rue Terrebonne, les conseillers d’arrondissement Lionel Perez et Marvin Rotrand ont agi après avoir écouté les plaintes des citoyens et ont préparé une motion pour la présentation au conseil, ce qui a conduit à la suppression de la piste cyclable. Cela souligne que les résidents ont la possibilité d’exprimer leurs préoccupations et d’influencer les décisions. Les résidents de Park Ex pourraient envisager d’engager leurs élus de manière similaire pour aborder leurs préoccupations et chercher un compromis qui corresponde aux besoins de leur communauté.

Recherche de Solutions Face à des Préoccupations Ignorées

Les préoccupations supplémentaires qui ont été mises en lumière au cours de ce problème controversé qui préoccupe les résidents ont révélé les dangers potentiels et les problèmes d’accessibilité auxquels certains résidents, en particulier ceux en situation de handicap ou à mobilité réduite, pourraient être confrontés en raison des changements. Alors que le débat fait rage à Park Ex, il reste à voir si un compromis peut être trouvé pour répondre à ces préoccupations pressantes tout en équilibrant les besoins évolutifs de la communauté.

À mesure que le débat se poursuit à Park Ex, avec des résidents exprimant leur frustration et leurs préoccupations, il devient de plus en plus évident qu’une partie importante de la communauté se sent marginalisée et ignorée dans des décisions qui impactent directement leur vie. De plus, il semble que les politiciens n’ont aucune préoccupation pour ce problème, ce qui souligne l’urgence d’un engagement communautaire et d’un dialogue significatifs pour combler le fossé entre les changements proposés et les besoins et voix des résidents qui considèrent Park Ex comme leur chez-soi.

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Nouvelles Transport

Fermeture totale du tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine en direction de Montréal pendant le week-end du 21 juillet.

Le ministère des Transports et de la Mobilité durable annonce des travaux majeurs

Le tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine, un important axe de circulation reliant Montréal à la Rive-Sud, sera fermé en direction de Montréal lors de la fin de semaine du 21 juillet. Cette fermeture s’inscrit dans le cadre des travaux de transfert de la circulation sur la nouvelle chaussée de l’autoroute 25 et permettra de débuter les travaux sur la chaussée en direction nord. Le ministère des Transports et de la Mobilité durable (MTMD) a publié un communiqué annonçant ces mesures temporaires visant à assurer la sécurité et la qualité des infrastructures routières.

Travaux à effectuer:

L’objectif principal de cette fermeture est de finaliser le transfert de la circulation sur la nouvelle chaussée de l’autoroute 25 et de permettre la réalisation des travaux sur la chaussée en direction nord. Il convient de noter que cette modification n’aura aucune incidence sur la configuration actuelle du tunnel, qui comprend une voie en direction de la Rive-Sud et deux voies en direction de Montréal.

Fermeture nocturne en direction de la Rive-Sud:

En plus de la fermeture en direction de Montréal, le tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine sera également fermé en direction de la Rive-Sud durant les nuits du 21 et 22 juillet. Ces fermetures nocturnes permettront la réalisation de travaux d’inspection nécessaires pour assurer la sécurité des usagers de la route.

Perturbations de la circulation:

Les autoroutes 20 et 25 en direction de Montréal seront complètement fermées, y compris le tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine, entre la sortie n° 90 – Autoroute 20 ouest et l’entrée en provenance du boul. Yves-Prévost, du vendredi 23h30 au lundi 5h00. Les entrées de cette section seront fermées 30 minutes avant la fermeture totale de l’autoroute. Cependant, l’accès à l’île Charron sera maintenu en tout temps grâce à un itinéraire balisé à partir du boulevard Marie-Victorin.

Fermetures nocturnes supplémentaires:

En plus des fermetures mentionnées précédemment, d’autres fermetures nocturnes sont prévues. L’autoroute 25 en direction de la Rive-Sud, incluant le tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine, sera complètement fermée entre la sortie n° 4 – Montréal (centre-ville) / Pont J.-Cartier et l’entrée en provenance de l’île Charron: de 23h30 à 8h00 la nuit du vendredi au samedi, et de 23h00 à 9h00 la nuit du samedi au dimanche. De plus, l’avenue Souligny en direction est sera également fermée entre les rues Dickson et Honoré-Beaugrand selon l’horaire suivant : la nuit du vendredi au samedi de 23h00 à 8h00 et la nuit du samedi au dimanche de 22h30 à 9h00.

Voici une représentation textuelle des fermetures pour vous aider à visualiser les zones affectées :

Fermeture totale du vendredi à 23h30 au lundi à 5h00 :

  • Les autoroutes 20 et 25 en direction de Montréal seront complètement fermées.
  • Cette fermeture inclut le Tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine.
  • La fermeture s’étend de la sortie no 90 (autoroute 20 vers l’ouest) à l’entrée du boulevard Yves-Prévost.
  • Les entrées de cette section seront fermées 30 minutes avant la fermeture totale.
  • L’accès à l’île Charron est maintenu via un itinéraire balisé depuis le boulevard Marie-Victorin.

Fermetures nocturnes supplémentaires :

  • Fermeture de l’autoroute 25 en direction de la Rive-Sud, y compris le Tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine :
    • De la sortie no 4 (Centre-ville de Montréal/Pont J.-Cartier) à l’entrée depuis l’île Charron.
    • Vendredi à samedi soir : de 23h30 à 8h00.
    • Samedi à dimanche soir : de 23h00 à 9h00.
  • Fermeture de l’avenue Souligny (direction est) entre les rues Dickson et Honoré-Beaugrand :
    • Vendredi à samedi soir : de 23h00 à 8h00.
    • Samedi à dimanche soir : de 22h30 à 9h00.

Veuillez noter qu’il est toujours préférable de consulter les sources officielles ou les autorités locales de la circulation pour obtenir les informations les plus précises et à jour sur les fermetures et les déviations.:

Ces fermetures temporaires du tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine et des autoroutes environnantes sont nécessaires pour permettre la réalisation des travaux de mise à niveau des infrastructures routières. Le ministère des Transports et de la Mobilité durable tient à informer les usagers de la route afin de minimiser les inconvénients et de garantir la sécurité de tous. Il est recommandé aux automobilistes de planifier leurs déplacements en tenant compte de ces fermetures et de suivre les indications routières pour éviter les zones concernées par les travaux.

Source: Ministry of Transport and Sustainable Mobility (MTMD)

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